La famille après le mariage des enfants. Etude des relations entre générations. (1974)

France, 1974

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ID Ined

IE0131

DOI

https://doi.org/10.48756/ined-IE0131-3277

Producteur(s)

ROUSSEL Louis, BOURGUIGNON Odile

Métadonnées

Documentation au format PDF DDI/XML JSON

Créé le

Mar 04, 2022

Dernière modification

Jul 15, 2024

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Succession entre conjoint survivant et enfants (E096)

Fichier de données: INED_IE0131_Enfants

Aperçu

Valides: 1250

Valeurs manquantes: 0

Type: Discret

Décimale(s): 0

Intervalle: 0 - 3

Format: Numérique

Question(s) et instruction(s)

Question

43 - Parmi les trois sortes de lois sur les successions qui figurent sur la carte que vous présente maintenant l'enquêteur, quelle est celle qui vous paraît la meilleure ?

Modalités

Valeur	Modalité	Cas
0	Pas de réponse	155	12.4%
1	1ère manière : Le conjoint survivant ne conserve en toute propriété que la moitié des biens de la communauté. Sur le reste, qui constitue l'héritage des enfants, le conjoint survivant n'a droit qu'à l'usufruit d'une partie (le 1/4).	251	20.1%
2	2ème manière : Le conjoint survivant garde en toute propriété (il a le droit de vendre) la totalité des biens du ménage jusqu'à sa mort. Les enfants n'héritent qu'à la mort du dernier parent survivant.	539	43.1%
3	3ème manière : Le conjoint survivant garde la première moitié des biens du ménage en tout propriété et la totalité de l'autre moitié seulement en usufruit jusqu'à sa mort.	305	24.4%

Attention : les chiffres ci-dessus ne sont pas pondérés.

Autres

Notes

Texte de la question figurant sur la carte : "Voici, parmi d'autres, trois manières de régler la succession entre le conjoint survivant et les enfants du ménage :"

Texte exact intégral de la modalité 1 : "1ère manière : Le conjoint survivant ne conserve en toute propriété que la moitié des biens de la communauté. Sur le reste, qui constitue l'héritage des enfants, le conjoint survivant n'a droit qu'à l'usufruit d'une partie (le 1/4). (Usufruit = droit d'utiliser et d'obtenir des revenus mais impossibilité de vendre le bien dont on a seulement l'usufruit). C'est la loi française actuelle."

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